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Reprise du message précédent

J'ai des doutes....

Par contre Spip, j'ai oublié de préciser que, pour philosopher, il faut mettre de côté la science et le cartésianisme poussé à l'extrême que l'on retrouve, malheureusement, chez trop de scientifiques.

Bah, vi, je fais de mon mieux. J’étais surtout comme ça en terminal, mais maintenant, ça m'a pas mal passé je pense.

Et oui, la science est et sera toujours impuissante à décrire les tréfonds de l'âme humaine, n'en déplaise à certains scientifiques qui n'ont de cartésiens que la définition qu'ils veulent bien en donner.

Descartes doit se retourner dans sa tombe ârfois.

Je me souviens en terminal avoir eu le malheur de dire que j’étais plutôt déterministe à ma prof Bergsonienne de philo. Sans l'avouer, je pensais à la mécanique. J'ai toujours été fasciné par la mécanique, encore plus la mécanique analytique (~L3)... bref, elle a fait des bons... à raison.

Mais, je préfère retenir mon moment de gloire où sur l'interprétation d'un passage (de Kant je crois) où elle a dit "le seul ici qui ne réfléchit pas comme une casserole"

Avec 5 ans de physique (et plus...), si je tente de me (re)mettre à la philo, c'est probablement à la fois pour satisfaire un désir que j'ai toujours gardé mais aussi pour explorer ce que je ne peux voir avec ce que j'ai déjà.

Bon, cessons de parler de moi, parlons de vous ^^ Qui veut s'allonger pour une séance de psychanalyse ? Daax qui me prend pour un extra terrestre depuis quelques temps déjà...

Ben non... Tu me fais rire un peu, parce que tu prends beaucoup de choses au sérieux. Je me dis en même temps que c'est normal, lorsqu'on est jeune, on a beaucoup d'ambition, on veut changer le monde. C'est correct et c'est cool.

On va faire la discussion en MP, parce que je ne comprend pas (Pour une fois que je n'ai pas dit, c'est pas libre...)

Ah ça c'est vrai....

Bonsoir,

En ce moment, je suis en train de lire, pardon de dévorer Band of Brothers de Ambrose. La VO se lit toute seule et ceux qui ont aimé la série, aimeront le livre. On y retrouve le même esprit : on vit avec la E company. Les scènes sont très bien décrites, mais il parrait que le récit de Winters va encore plus loin. Il répondrait notamment aux non-dits du premier (suite aux questions des lecteurs et série-ophiles)

@+

Allez un peu de culture historique qui décoiffe ce que nous croyons savoir :
F. Reynaert, "Nos ancêtres les gaulois et autres fadaises" chez Fayard.

"La France est-elle finie ?" de J.P. Chevènement

Excellente mise en perspective de l'histoire récente.