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Pourquoi utiliser NixOS ?

Avant de répondre à la question “Pourquoi utiliser NixOS ?”, il faut se poser la question “Quand utiliser NixOS ?”. Et la réponse est : jamais.

Oui bon à la limite, si vous êtes développeur ou administrateur système, que vous jonglez entre les projets et que vous avez une bonne centaine de Go à consacrer à votre partition système, alors là oui, peut-être que NixOS peut changer votre vie (notez que je n’ai pas précisé si c’était en bien ou en mal…. Pour une utilisation “bureautique classique”, NixOS n’a pas vraiment d’intérêt et sera certainement inutilement compliqué.

Et donc “Pourquoi utiliser NixOS dans les cas qui peuvent s’y prêter ?” : parce que Nix permet de définir et reproduire des configurations de machines et de projets. Typiquement, il suffit d’ajouter à un projet un fichier Nix, décrivant ses dépendances et sa procédure de construction, pour que ça-juste-marche™.

Il est également possible d’installer Nix + Nixpkgs sur une distribution Linux classique (Debian, Fedora, etc). Cette méthode permet de profiter de l’écosystème Nix sans avoir à installer NixOS. Cependant, elle ne permet pas d’utiliser tout l’écosystème et peut nécessiter un peu de configuration supplémentaire, notamment pour lancer des applications graphiques.

I tried many of different Linux distributions before and was really happy to meet NixOS suddenly.
There is no doubt that the future of Linux World is NixOS.
In my opinion it will take not much time till NixOS becomes widely used around the whole planet.
IMHO the greatest feature of that distribution is "rollback" possibility. It is awesome.
Imagine that you have installed something that is not exactly you need, you forgotten to prune it
and kept going your searches. Once you've found it and of course you completely forgot about that previously installed
unneeded stuff. And one day you will definitely sit in a puddle, because that stuff could broke something on your system.
In a generic distribution there is no any easy way to go through the issue, but in NixOS you will manage it by using only
one command "nixos-rebuild switch --rollback"! And that is it. This is like git in programming world:
your system in one stable state, you can look around, make experimental changes and commit them, and you can discard any commits you make in that state without impacting any branches by performing another checkout.
I recommend it for everyone.

Jamais entendu parler. Je ne vois pas de grands changements à venir en entreprise : SUSE Linux Entreprise, RHEL (et ses dérivées pour ceux qui ne veulent pas payer), Debian, Ubuntu, Linux Mint. Dévà Nix ne semble pas développé par une entreprise. Pour pleins de boite, c'est déjà un non direct (après ça dépend, mais j'ai déjà eu cet argument).

Je pense que c'est similaire dans la démarche à Guix.
J'avais testé au moment du lancement de la distrib. A ce moment, il n'y avait ni Plasma ni LXQt, ce qui me manquait.
Comme le souligne Seb, c'est très gourmand en place disque, et l'installation peut nécessiter une compilation en direct, ça devient vite fastidieux.
Bref, je suis toujours avec Mageia

Linux Mint en entreprise ? Jamais vu personnellement......

On l'utilisait dans un labo de 300 personnes environ. D'après le service informatique. Ils avaient des outils avec Mint qu'ils n'avaient pas avec Ubuntu. Peut être en lien avec l'intégration de Kapersky endpoint mais je n'en suis pas sûr.

Par exemple l'outil graphique pour gérer les utilisateurs et groupes n'est pas installé par défaut sous Ubuntu. Il l'est sous Mint. Quand tu as 2 responsables informatiques pour 300 personnes, ils estimaient peut être que ce genre de petits gains de temps n'étaient pas négligeables.

Ça m'étonne pas plus que ça, je vois bien plus d'ubuntu, à une époque c'était du SUSE qu'on voyait aussi dans les petites entreprises, leurs versions gratuites du moins. Ça m'étonne pas plus que ça en voyant les changements de caps que font ubutu, changement de bureau, insertion des snap comme pour firefox... Par contre, je suis toujours étonné de voir mint ou ubuntu et pas directement debian.

Maintenant je connais une entreprise qui utilisait fedora même pour ses serveurs, sauf que ça devait pas être trop sérieux car ils étaient avec des versions vieillottes abandonnées depuis 5 ou 6 versions.

Et pour revenir, dans les années 2000, les informaticiens de mon entourage, les pros je veux dire, conseillaient SUSE ou Mandriva.