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Bonjour,
J'aurais une proposition, mais je ne suis pas capable de la réaliser. Dites-moi ce que vous en penser et si vous êtes en mesure d'y apporter quelque chose.

Mon idée est d'avoir après l'installation un guide pour utiliser des services distants, et je pense à ceux de Framasoft (framadrive entre autre, création de documents en ligne, ...)
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Il faudrait orienter ou permettre la création d'un compte Framasoft, ou pouvoir s'y connecter avec un compte Mageia.

Ce pourrait être fait avec une évolution de Mageiawelcome, ou une application spécifique, ou encore une page web soit locale, soit distante.
Il faudrait évidemment avoir un accord avec Framasoft.

Ceci aurait l'avantage de faire la promotion de services libres et valoriser l'image de Mageia dans ce monde.

J'attends vos commentaires.

Idée excellente !

C'est tellement évident qu'il faut le faire. Car à quoi sert un OS (plus ou moins) libre dans un internet asservi.Je ne sais comment il faut la réaliser mais je pense qu'il faut absolument le faire. Et vite, même si pas complètement. Cela ne gênera en rien ceux qui qui savent où aller dans les services de l'internet ou qui ne veulent pas de Framasoft mais cela permettra de guider ceux, et ils sont plus nombreux que l'on croit, qui ne savent pas où s'adresser. J'avoue que l'association Mageia Framasoft ça m'inspire davantage que Ubuntu Amazon...

Je penche plutôt pour une application spécifique même si elle est déclenchable à partir de MageiaWelcome.

Bravo Papoteur pour cette idée lumineuse ! J'espère même qu'il ne faudra pas attendre la 7 pour la voir commencer à se réaliser.

Pas bête

Cette idée est excellente. Je suis simple utilisateur du libre depuis un moment déjà. Et j'attends le "Framamail" depuis ... longtemps.

- Mageia est une distribution que je trouve "simple d'accès", grâce son "centre de contrôle" et "l'écran de bienvenue" qui sont exemplaires.
- Framasoft, n'est plus depuis longtemps le simple "annuaire de logiciel libre", leur offre de fonctions online est très bonne et cohérente. J'utilise leurs services au maximum.

Sur le plan éthique, ça va dans le même sens. Sincèrement, si dans deux ans mageia s'appelle "Mageia Framasoft" (Framageia ?), je signe de suite.


Malheureusement, je suis à mille lieues de connaitre des gens capables de concevoir ce genre de produits.

Framasoft et Mageia partagent aussi les même "handicaps" , ils ont aussi besoin de développeur logiciel et puis des finances pour les serveurs.
Qui dit plus d'offre en ligne, dit plus d'espace de stockage.

Mais il parait que la route est longue, mais la voie est libre.

Ben après, pour le coup, ce qui pourrait être intéressant, c'est que l'association Mageia, propose-elle même ces services basés sur des logiciels libres comme Framasoft fait déjà. Mais comme dit Benoit, il y a toujours le problème des moyens humains et financiers qui sont accordés.

Mais dans ce cas-là, pour répondre au problème des moyens financiers, la solution pourrait être de rendre les services "annexes" (équivalents aux Framatrucs) "rentables" de manière à financer la distribution Mageia de manière pérenne.

J'ai cru comprendre que le financement des logiciels libre a toujours un peu été un problème. Et c'est vrai que perso, je me suis toujours un peu demandé comment on pouvait faire. Ça pourrait être une solution.

Merci pour vos retours encourageants.


Alors, deux réponses :
1/ Pourquoi refaire quelque chose à l'identique si çà marche déjà ? Je ne vois pas la nécessité de réinventer le roue, si celle-ci tourne déjà.
2/ C'est le genre de services qui rencontrent la concurrence déloyale de sociétés qui font leur beurre soit avec de la publicité directement, soit exploitent les données qu'elles voient passer (ou vont chercher). Il sera toujours difficile de les vendre même au prix coutant, je crains. Selon l'historique de Mageia, je suis à peu près sûr que l'association ne souhaite pas se lancer dans une offre de services qui nécessiterait des personnes à plein temps, donc rémunérées. Une solution plus acceptable serait que le service soit assuré par une société partenaire. Et encore. Mais je ne veux pas tuer le débat ni les initiatives.